La chapelle du Sacré-Cœur, avant restauration
L'initiative de la construction revient à une commerçante ziniéroise*, Mme Morille, qui lança après guerre une souscription pour la financer. Un groupe de femmes de prisonniers avaient en effet promis d'élever une chapelle si leurs maris rentraient sains et saufs. Or tous ont pu regagner leur foyer. La participation bénévole de plusieurs artisans permis de mener à bien les travaux, sur une parcelle de terrain offerte par la famille Durand-Babonneau, à l'angle de la rue du Sacré-Cœur et de la rue de la Grande-Fontaine.
Propriétaire de l'édifice depuis mai 2010, la commune de La Séguinière a entrepris de le restaurer un an après. Les enduits extérieurs ont été complètement repris, ainsi que la toiture. Le vitrail situé au-dessus de la porte d'entrée a également été restauré. Enfin, l'escalier d'accès a été sécurisé par de nouvelles marches et des rambardes métalliques. Le coût total de cette restauration s'est élevé à 15.000 euros. La souscription lancée en juillet dernier auprès de la population et des entreprises n'a hélas pas permis d'atteindre les 5% nécessaires à l'obtention d'une subvention de la Fondation du Patrimoine.
(* Les habitants de La Séguinière s'appellent les Ziniérois.)
Propriétaire de l'édifice depuis mai 2010, la commune de La Séguinière a entrepris de le restaurer un an après. Les enduits extérieurs ont été complètement repris, ainsi que la toiture. Le vitrail situé au-dessus de la porte d'entrée a également été restauré. Enfin, l'escalier d'accès a été sécurisé par de nouvelles marches et des rambardes métalliques. Le coût total de cette restauration s'est élevé à 15.000 euros. La souscription lancée en juillet dernier auprès de la population et des entreprises n'a hélas pas permis d'atteindre les 5% nécessaires à l'obtention d'une subvention de la Fondation du Patrimoine.
(* Les habitants de La Séguinière s'appellent les Ziniérois.)