Début de la procession dans la rue Notre-Dame
Les Missions ont ponctué jusqu'aux années 50 la vie religieuse de nos anciens. Tous les dix ans environ, et pendant trois semaines, chaque paroisse mobilisait les âmes avec le soutien de missionnaires. Cette campagne menée pour raviver la foi des fidèles touchait toute la population, hommes, femmes, jeunes gens, enfants, lors de réunions quasi quotidiennes. Tout contribuait à marquer profondément les esprits, les sermons, les conférences, mais aussi le soin extrême apporté à la décoration de l'église.
A la fin de la Mission, quand chacun s'était confessé et avait communié, un calvaire était érigé pour marquer ce temps fort de la vie spirituelle. Là encore, l'événement rassemblait toute la paroisse et la route qui menait vers le lieu de l'inauguration du monument était superbement décorée. Le calvaire de la Mission de 1946, appelé « Calvaire de la Pège », fut élevé sur la route de La Gaubretière (aujourd'hui isolé depuis l'aménagement du contournement du bourg). Le Christ qu'on peut voir aujourd'hui n'apparaît pas sur les photos de l'époque. Il ne fut fixé qu'en 1957, lors de l'ultime mission que connut Chambretaud.
A la fin de la Mission, quand chacun s'était confessé et avait communié, un calvaire était érigé pour marquer ce temps fort de la vie spirituelle. Là encore, l'événement rassemblait toute la paroisse et la route qui menait vers le lieu de l'inauguration du monument était superbement décorée. Le calvaire de la Mission de 1946, appelé « Calvaire de la Pège », fut élevé sur la route de La Gaubretière (aujourd'hui isolé depuis l'aménagement du contournement du bourg). Le Christ qu'on peut voir aujourd'hui n'apparaît pas sur les photos de l'époque. Il ne fut fixé qu'en 1957, lors de l'ultime mission que connut Chambretaud.