Le lieu dit du Bois Charruau, route du Longeron
"Il y a bien longtemps, il y avait en ces lieux un château où vivaient de riches seigneurs. Il n'en reste plus rien aujourd'hui. Les "anciens" eux-mêmes ne se souviennent pas en avoir vu les ruines. Cependant , leurs grands-pères ou arrières-grands-pères disent-ils, leur ont parlé de murs énormes écroulés parmi les ronces et d'une porte presque intacte au dessus de laquelle on pouvait lire : "Cent pas en avant, cent pas en arrière, une barrique d'or et une barrique d'argent. Deux épées en croix en indiquent la place." (Félix Landreau, 1949)
Cette légende est connue par de nombreux Romagnons. Elle semble s'être transmise oralement depuis des générations. Dans le passé, des fouilles ont bien été engagées par certains, curieux de découvrir le trésor qui pourrait se cacher derrière cette inscription énigmatique, mais elles n'ont jamais été couronnées de succès.
Comment retrouver l'emplacement exacte à partir d'un site qui ne laissent plus apparaître ces mystérieuses ruines. Ont-elles seulement existé ? Où se trouvait exactement cette mystérieuse porte ? A partir d'où compter les pas. Autant de questions qui rendent infructueuses les recherches engagées.
Mythe ou réalité ? "Cent pas en avant... cent pas en arrière..." peut être que l'urbanisation future de cette zone agricole nous le dira...
Cette légende est connue par de nombreux Romagnons. Elle semble s'être transmise oralement depuis des générations. Dans le passé, des fouilles ont bien été engagées par certains, curieux de découvrir le trésor qui pourrait se cacher derrière cette inscription énigmatique, mais elles n'ont jamais été couronnées de succès.
Comment retrouver l'emplacement exacte à partir d'un site qui ne laissent plus apparaître ces mystérieuses ruines. Ont-elles seulement existé ? Où se trouvait exactement cette mystérieuse porte ? A partir d'où compter les pas. Autant de questions qui rendent infructueuses les recherches engagées.
Mythe ou réalité ? "Cent pas en avant... cent pas en arrière..." peut être que l'urbanisation future de cette zone agricole nous le dira...