Plus de 1 000 kilomètres de galeries, caves, fermes, jalonnent le sous-sol angevin, en plaine ou en coteau. Cet univers secret et surréaliste abrite des restaurants troglodytiques avec une cuisine liée au terroir.
Quelques bonnes adresses de restaurants troglos en Anjou
En plaine ou en coteau, il existe une offre variée de restaurants en troglodytes, en voici quelques-uns….
Adepte des bistrots ? Le Bistroglo, vous propose vins et produits du terroir, ainsi que la « Troglotte », bière saumuroise produite à la Brasserie des Fontaines. Côté champignonnières, Cave aux Moines et Saut aux Loups régalent les convives des produits récoltés dans les galeries de tuffeau.
En coteau toujours, l’original restaurant L’Hélianthe met à l’honneur une cuisine s’inspirant de recettes de la fin du XIXe, à base de plats mitonnés et de légumes anciens tels le topinambour, le panais, le rutabaga, l’hélianthe, la vitelotte…
En plaine, dans le village troglodytique de Rochemenier, les Caves de la Genevraie sont d’anciennes habitations troglodytiques, joliment aménagées en restaurant troglodytique. Vous êtes invités à découvrir l’ensemble du site servant de galerie-refuge pendant les guerres de religion.
Entre vignoble et forêt, à Grézillé, le restaurant Troglo’Vol joue sur l’originalité. Au gré de vos envies, garnissez vos fouées de gratin de légumes du marché ou de farce angevine avec poulet et champignons mijotés au coteau de l’Aubance, de gratin de fromage au Guignolet d’Anjou.
Régalez donc vos papilles sans modération.
Fouaces et galipettes : les spécialités culinaires troglodytiques
Cuite au four à bois, d’où son nom, la fouace ou fouée est un petit pain rond qui se déguste fumant, garni de rillettes, de mogettes (haricots blancs) ou de fromage de chèvre. Remise au goût du jour depuis une vingtaine d’années par les restaurateurs, cette spécialité enchante les palais des petits et des grands.
Autre spécialité, la galipette est un champignon de Paris qu’on laisse se développer plus longuement. Cuit au feu de bois dans les fours troglodytiques, son large chapeau s’agrémente de délicieuses farces à base de rillettes ou de fromage…
Le champignon de Paris est cultivé en Saumurois depuis plus d’un siècle ! Dans les caves dont était extrait le tuffeau, les champignonnières produisent également pleurotes, pieds bleus et shiitake.
Source : Anjou-tourisme.com
Quelques bonnes adresses de restaurants troglos en Anjou
En plaine ou en coteau, il existe une offre variée de restaurants en troglodytes, en voici quelques-uns….
Adepte des bistrots ? Le Bistroglo, vous propose vins et produits du terroir, ainsi que la « Troglotte », bière saumuroise produite à la Brasserie des Fontaines. Côté champignonnières, Cave aux Moines et Saut aux Loups régalent les convives des produits récoltés dans les galeries de tuffeau.
En coteau toujours, l’original restaurant L’Hélianthe met à l’honneur une cuisine s’inspirant de recettes de la fin du XIXe, à base de plats mitonnés et de légumes anciens tels le topinambour, le panais, le rutabaga, l’hélianthe, la vitelotte…
En plaine, dans le village troglodytique de Rochemenier, les Caves de la Genevraie sont d’anciennes habitations troglodytiques, joliment aménagées en restaurant troglodytique. Vous êtes invités à découvrir l’ensemble du site servant de galerie-refuge pendant les guerres de religion.
Entre vignoble et forêt, à Grézillé, le restaurant Troglo’Vol joue sur l’originalité. Au gré de vos envies, garnissez vos fouées de gratin de légumes du marché ou de farce angevine avec poulet et champignons mijotés au coteau de l’Aubance, de gratin de fromage au Guignolet d’Anjou.
Régalez donc vos papilles sans modération.
Fouaces et galipettes : les spécialités culinaires troglodytiques
Cuite au four à bois, d’où son nom, la fouace ou fouée est un petit pain rond qui se déguste fumant, garni de rillettes, de mogettes (haricots blancs) ou de fromage de chèvre. Remise au goût du jour depuis une vingtaine d’années par les restaurateurs, cette spécialité enchante les palais des petits et des grands.
Autre spécialité, la galipette est un champignon de Paris qu’on laisse se développer plus longuement. Cuit au feu de bois dans les fours troglodytiques, son large chapeau s’agrémente de délicieuses farces à base de rillettes ou de fromage…
Le champignon de Paris est cultivé en Saumurois depuis plus d’un siècle ! Dans les caves dont était extrait le tuffeau, les champignonnières produisent également pleurotes, pieds bleus et shiitake.
Source : Anjou-tourisme.com