C’est en 1874 que le 135ème Régiment d’Infanterie arrive à CHOLET. La caserne THARREAU est construite de 1875 à 1878.
La Résidence THARREAU est appelée du nom du Général de Division THARREAU. Jean Victor Baron THARREAU est né au MAY-SUR-EVRE en 1767. Il quitte femme et enfants pour s’enrôler dans le deuxième bataillon des Volontaires de MAINE-ET-LOIRE. Nommé Adjudant-Major, il fera carrière dans l’armée, participant à de nombreux combats. Il meurt sur un champ de bataille le 07 septembre 1812. Son buste par DEBAY, a pris place en 1840 au Musée de VERSAILLES. Un exemplaire en marbre fut donné par sa veuve au Musée d’ANGERS.
Le 77ème Régiment d’Infanterie arrive en 1882 à la Caserne THARREAU, et contribue à la prospérité de CHOLET. Il compte 3000 soldats, 200 sous-officiers et officiers à demeure, que viennent compléter de nombreux réservistes séjournant à l’automne et au printemps. Les bâtiments comprennent aussi des écuries.
Dans la rue LYAUTEY se trouve une carrière de pierres, agrémentée d'une végétation faite de genêts et d’églantiers.
Le 77ème R.I. quittera définitivement CHOLET le 1er janvier 1924.
Le 21 juin 1940, les Allemands entrent dans CHOLET. Ils vont occuper la caserne THARREAU. La ville sera libérée le 31 août 1944. Les locaux de la caserne sont alors affectés aux gendarmes mobiles, à l’habitat à loyer modéré (H.B.M.) pour les ouvriers des BATIGNOLLES, et aux carnavaliers. Le bâtiment central a été bombardé.
Ils ont aussi servi de dortoir-réfectoire et de salle d’étude au Collège d’Enseignement Technique RENAUDEAU.
L’usine des BATIGNOLLES est l’une des plus grosses fabriques de machines-outils en FRANCE. Elle appartient au même groupe que l’usine nantaise qui fabrique des locomotives.
Les premiers offices en la nouvelle église SAINTE-BERNADETTE seront célébrés en 1963.
De 1964 à 1967 sont construites les résidences LE PARC ET LES MAUGES. De 1967 à 1970, le quartier des CALINS et des ROCHES est démoli puis en cours de reconstruction.
En 1971, les bâtiments de la caserne militaire sont démolis, pour laisser place à la construction de l’actuelle caserne des Pompiers et des tours environnantes.
La Résidence THARREAU est appelée du nom du Général de Division THARREAU. Jean Victor Baron THARREAU est né au MAY-SUR-EVRE en 1767. Il quitte femme et enfants pour s’enrôler dans le deuxième bataillon des Volontaires de MAINE-ET-LOIRE. Nommé Adjudant-Major, il fera carrière dans l’armée, participant à de nombreux combats. Il meurt sur un champ de bataille le 07 septembre 1812. Son buste par DEBAY, a pris place en 1840 au Musée de VERSAILLES. Un exemplaire en marbre fut donné par sa veuve au Musée d’ANGERS.
Le 77ème Régiment d’Infanterie arrive en 1882 à la Caserne THARREAU, et contribue à la prospérité de CHOLET. Il compte 3000 soldats, 200 sous-officiers et officiers à demeure, que viennent compléter de nombreux réservistes séjournant à l’automne et au printemps. Les bâtiments comprennent aussi des écuries.
Dans la rue LYAUTEY se trouve une carrière de pierres, agrémentée d'une végétation faite de genêts et d’églantiers.
Le 77ème R.I. quittera définitivement CHOLET le 1er janvier 1924.
Le 21 juin 1940, les Allemands entrent dans CHOLET. Ils vont occuper la caserne THARREAU. La ville sera libérée le 31 août 1944. Les locaux de la caserne sont alors affectés aux gendarmes mobiles, à l’habitat à loyer modéré (H.B.M.) pour les ouvriers des BATIGNOLLES, et aux carnavaliers. Le bâtiment central a été bombardé.
Ils ont aussi servi de dortoir-réfectoire et de salle d’étude au Collège d’Enseignement Technique RENAUDEAU.
L’usine des BATIGNOLLES est l’une des plus grosses fabriques de machines-outils en FRANCE. Elle appartient au même groupe que l’usine nantaise qui fabrique des locomotives.
Les premiers offices en la nouvelle église SAINTE-BERNADETTE seront célébrés en 1963.
De 1964 à 1967 sont construites les résidences LE PARC ET LES MAUGES. De 1967 à 1970, le quartier des CALINS et des ROCHES est démoli puis en cours de reconstruction.
En 1971, les bâtiments de la caserne militaire sont démolis, pour laisser place à la construction de l’actuelle caserne des Pompiers et des tours environnantes.