Tout avait été préparé depuis plusieurs mois déjà pour une visite nocturne mémorable à travers les coteaux d'Evrunes. Mais la météo en a décidé autrement, et pour éviter de perdre une partie des visiteurs sur les chaussées détrempées de la Sèvre, les organisateurs de la promenade de samedi soir ont dû se résoudre à annuler cette partie du programme.
La sortie de dimanche après-midi a bénéficié en revanche d'un temps plus clément, même si quelques gouttes tombées en début de parcours ont fait craindre un instant un nouveau repli. Il n'en a rien été, fort heureusement, et notre guide, Jean-Pierre Bregeon, a pu mener à bien la visite du Mortagne de la Renaissance.
La sortie de dimanche après-midi a bénéficié en revanche d'un temps plus clément, même si quelques gouttes tombées en début de parcours ont fait craindre un instant un nouveau repli. Il n'en a rien été, fort heureusement, et notre guide, Jean-Pierre Bregeon, a pu mener à bien la visite du Mortagne de la Renaissance.
Cette page de notre histoire fut illustrée, place du château, par de grands portraits des personnages qui ont marqué l'histoire de la ville à cette époque, à commencer par Renée de Montespédon, qui fut la dernière baronne à résider à Mortagne. Notre cortège a pu ensuite entamer sa marche vers le logis de Tirepoint, place Hullin, où la commune achève l'aménagement de superbes jardins en terrasses, puis vers le grand logis Thibaud, dont la façade magnifiquement restaurée affiche une grande fenêtre à meneaux, la seule visible depuis la rue à Mortagne. L'étape suivante, au logis de la Mouchaude, a été l'occasion d'en apprendre plus sur la garde du château, et sur le grenier à sel qui a laissé bien des récits de gabelous et de faux-sauniers.
Notre itinéraire nous a conduit ensuite en dehors de la vieille ville, en direction du cimetière Saint-Louis et de la maison forte de Saint-Martin. Le passage de la basse à la haute-cour nous a éclairé sur le rôle de cette position stratégique qui gardait jadis la route menant de Mortagne au passage qui franchissait la Sèvre à gué. A la dernière étape, Jean-Pierre Bregeon nous a fait découvrir la croix de l'Ozanne, aujourd'hui disparue, dont le carrefour perdu dans un coin de forêt nous a plongé dans les chemins creux d'avant la Révolution. La préservation de cet espace naturel et historique au milieu des nouveaux lotissements a pu convaincre le plus grand nombre de l'importance de ces Journées du Patrimoine et du rôle du B.R.A.H.M. pour la conservation de notre mémoire.
Notre itinéraire nous a conduit ensuite en dehors de la vieille ville, en direction du cimetière Saint-Louis et de la maison forte de Saint-Martin. Le passage de la basse à la haute-cour nous a éclairé sur le rôle de cette position stratégique qui gardait jadis la route menant de Mortagne au passage qui franchissait la Sèvre à gué. A la dernière étape, Jean-Pierre Bregeon nous a fait découvrir la croix de l'Ozanne, aujourd'hui disparue, dont le carrefour perdu dans un coin de forêt nous a plongé dans les chemins creux d'avant la Révolution. La préservation de cet espace naturel et historique au milieu des nouveaux lotissements a pu convaincre le plus grand nombre de l'importance de ces Journées du Patrimoine et du rôle du B.R.A.H.M. pour la conservation de notre mémoire.