Elu le 8 février 1871, par 59.748 voix (66.286 votants, 102.701 inscrits), Paul Bourgeois siégea à la droite monarchiste. Refusant l’inscription sur la liste des sénateurs inamovibles, il préféra se représenter le 20 février 1876 comme député dans la 2e circonscription de La Roche-sur-Yon, qui l'élit par 8.106 voix (11.510 votants, 18.574 inscrits), contre 3.273 voix à M. Dugast-Matifeux.
Siégeant au sein de la minorité conservatrice, il obtint un nouveau mandat le 14 octobre 1877. Il vota naturellement contre l'application des lois existantes aux congrégations (16 mars 1880) et contre le divorce (8 février 1881).
Réélu le 21 août 1881, par 9.485 voix (14.651 votants, 19.567 inscrits), Paul Bourgeois continua de siéger à droite. Il se prononça contre les divers cabinets de gauche qui occupèrent le pouvoir, refusa au ministère Ferry le vote des crédits du Tonkin, vota contre la séparation de l'Eglise et de l’Etat, contre la loi d'expulsion des princes, etc.
Porté sur la liste conservatrice du 4 octobre 1885, il fut réélu par 51.679 voix (92.162 votants, 120.430 inscrits), reprit sa place à droite, vota contre le projet de loi sur l'enseignement primaire, pour le maintien de l'ambassade du Vatican, etc.
M. Paul Bourgeois a pris part à un certain nombre de discussions, non par de grands discours, mais par des réparties et des observations dont la forme humoristique n'était jamais blessante pour personne, il tournait fort agréablement les vers, comme le prouvaient quelques pièces de circonstance reproduites dans les journaux.
Siégeant au sein de la minorité conservatrice, il obtint un nouveau mandat le 14 octobre 1877. Il vota naturellement contre l'application des lois existantes aux congrégations (16 mars 1880) et contre le divorce (8 février 1881).
Réélu le 21 août 1881, par 9.485 voix (14.651 votants, 19.567 inscrits), Paul Bourgeois continua de siéger à droite. Il se prononça contre les divers cabinets de gauche qui occupèrent le pouvoir, refusa au ministère Ferry le vote des crédits du Tonkin, vota contre la séparation de l'Eglise et de l’Etat, contre la loi d'expulsion des princes, etc.
Porté sur la liste conservatrice du 4 octobre 1885, il fut réélu par 51.679 voix (92.162 votants, 120.430 inscrits), reprit sa place à droite, vota contre le projet de loi sur l'enseignement primaire, pour le maintien de l'ambassade du Vatican, etc.
M. Paul Bourgeois a pris part à un certain nombre de discussions, non par de grands discours, mais par des réparties et des observations dont la forme humoristique n'était jamais blessante pour personne, il tournait fort agréablement les vers, comme le prouvaient quelques pièces de circonstance reproduites dans les journaux.
Il fut réélu au premier tour de scrutin, aux élections générales du 22 septembre 1889, par la 2e circonscription de La Roche-sur-Yon. Membre de diverses commissions, il prit part aux discussions sur l'exercice de la médecine, de la pharmacie et de l'exercice de la médecine vétérinaire (1891).
Réélu au premier tour de scrutin aux élections générales du 20 août 1893 et nommé membre de diverses commissions, il se fit entendre sur la répression des menées anarchistes (1894), la caisse nationale des retraites (1895), le code rural, la liberté du vote (1898).
Ses électeurs lui renouvelèrent leur confiance aux élections générales du 8 mai 1898, toujours au premier tour de scrutin. Il prit part à diverses discussions notamment sur la liberté et le secret du vote (1901) et le repos hebdomadaire (1902).
Il retrouva une dernière fois son siège aux élections générales du 27 avril 1902, au premier tour de scrutin. Il devint en 1905 le doyen d'âge de la Chambre et présida en cette qualité les séances des 10 janvier 1905 et 9 janvier 1906. Il attira notamment l'attention du gouvernement sur le chemin de fer de Chantonnay à Cholet.
Il ne se représenta pas aux élections générales de 1906, préférant se retirer dans sa commune natale où il mourut le 16 mars 1912 à l’âge de 85 ans.
Il resta maire de La Verrie jusqu'en 1908 et obtint la présidence du Conseil général de la Vendée le 22 août 1910.
Il s’éteignit dans sa commune natale le 16 mars 1912.
Réélu au premier tour de scrutin aux élections générales du 20 août 1893 et nommé membre de diverses commissions, il se fit entendre sur la répression des menées anarchistes (1894), la caisse nationale des retraites (1895), le code rural, la liberté du vote (1898).
Ses électeurs lui renouvelèrent leur confiance aux élections générales du 8 mai 1898, toujours au premier tour de scrutin. Il prit part à diverses discussions notamment sur la liberté et le secret du vote (1901) et le repos hebdomadaire (1902).
Il retrouva une dernière fois son siège aux élections générales du 27 avril 1902, au premier tour de scrutin. Il devint en 1905 le doyen d'âge de la Chambre et présida en cette qualité les séances des 10 janvier 1905 et 9 janvier 1906. Il attira notamment l'attention du gouvernement sur le chemin de fer de Chantonnay à Cholet.
Il ne se représenta pas aux élections générales de 1906, préférant se retirer dans sa commune natale où il mourut le 16 mars 1912 à l’âge de 85 ans.
Il resta maire de La Verrie jusqu'en 1908 et obtint la présidence du Conseil général de la Vendée le 22 août 1910.
Il s’éteignit dans sa commune natale le 16 mars 1912.
Source : Base de données des députés français sur le site de l'Assemblée nationale