Le calvaire des "rouleaux"
Haut de 10 mètres, ce calvaire recouvre une symbolique particulière, chère à son architecte : Maurice Laurentin, père de Ménie Grégoire. Ce dernier fut aussi l'architecte de l'église du Sacré-Coeur de Cholet.
Le calvaire des "rouleaux" fut érigé de 1931 à 1934 et inauguré à l'occasion d'une mission dans la paroisse comme en témoigne l'inscription gravée au sommet de la première colonne : « Au Christ Roi Sauveur du Monde, mission de 1934 ». Le jour de sa bénédiction, le Christ qui le surmonte fut emmené en procession tiré par des bœufs.
De forme atypique, il est composé de quatre colonnes formée chacune de quatre rouleaux à battre le grain recueillis dans les fermes environnantes. Ces derniers supportent un globe terrestre lui même surmonté d'un Christ en croix. Huit autres rouleaux à moitié enterrés et reliés entre eux par une chaîne délimite le parterre fleuri au pied du calvaire.
Dans les années 30, la mécanisation s'accélérant, ces rouleaux servant à écraser les gerbes pour en libérer les grains ont peu à peu perdu de leur utilité. Ils ont été ici judicieusement réemployés en éléments de maçonnerie. Ils symbolisent le travail des Hommes permettant d'obtenir le pain de l'Eucharistie.
Le calvaire des "rouleaux" fut érigé de 1931 à 1934 et inauguré à l'occasion d'une mission dans la paroisse comme en témoigne l'inscription gravée au sommet de la première colonne : « Au Christ Roi Sauveur du Monde, mission de 1934 ». Le jour de sa bénédiction, le Christ qui le surmonte fut emmené en procession tiré par des bœufs.
De forme atypique, il est composé de quatre colonnes formée chacune de quatre rouleaux à battre le grain recueillis dans les fermes environnantes. Ces derniers supportent un globe terrestre lui même surmonté d'un Christ en croix. Huit autres rouleaux à moitié enterrés et reliés entre eux par une chaîne délimite le parterre fleuri au pied du calvaire.
Dans les années 30, la mécanisation s'accélérant, ces rouleaux servant à écraser les gerbes pour en libérer les grains ont peu à peu perdu de leur utilité. Ils ont été ici judicieusement réemployés en éléments de maçonnerie. Ils symbolisent le travail des Hommes permettant d'obtenir le pain de l'Eucharistie.